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Alice Olausson

 

Swedish 

Lauréate Montpellier Contemporain

Whatever happened to Bandit 

La Chapelle de la Miséricorde, Montpellier

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À suivre, à surveiller

Group show, La Chapelle de la Miséricorde, Montpellier

17.06.-03.07.2022

Featuring  Olivia Bailly, Can Demirel, Igor Dubreucq, Julie Dumas, Hélène Etchebarren, Pauline Etienne, Marie Féménias, Violette Guerçon, Judith Hassine, Laurie Hauff, Thomas Jung, Sofia Lautrec, Marie Metaireau, Mélina Mouti, Alice Olausson, Maria Palko-Mate, Paloma Pouderoux, Maude Riboulet-Faure, Kellian Sompayrac, Maddie Tait-Jamieson, Matthias Unger, Daseul Woo, Arnaud Zoé

Curated by Eva Barois De Caevel

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Whatever happened to Bandit 

Site-specific installation. Projector arm, video (0'10, loop). 100 x 50 x 50 cm.

Image credit (1st image): Yohann Gozard

À suivre, à surveiller is an exhibition featuring the works of fifth-year students from the Montpellier School of Fine Arts. The title notably refers to the terms used by Art Press when ranking emerging artists.

For most exhibitions, a curator comes up with a concept before selecting works that align with it. Another approach is to observe the artists' productions before constructing a narrative that connects diverse individuals and practices. We chose to proceed differently.

 

The guiding principles of this exhibition were the following: to step outside the confines of the school; to allow each individual to showcase a piece they consider best suited for this occasion; and to base the commonality of the exhibition not on a discourse linking the works, but on the experiences of those creating it.

This group show is, therefore, a collective exhibition of individual works, simultaneously showcasing a series of actions that narrate the organic relationships within an art school.

 

For example, M. manages the performance of Z., Z. conceives a mediation around O.'s work, O. handles the lighting for K.'s piece, K. creates a portrait of A. at work, M. writes a caption for C., J. utilizes V.'s discarded materials for his piece, D. conducts a series of interviews with M., T. nourishes S., S. writes a poem about M.'s work and also sources materials for him to realize his piece, M. reveals a recipe that enables P. to create his pieces, and so on.

 

À suivre, à surveiller est une exposition des œuvres des étudiant.e.s de cinquième année de l’École des Beaux-arts de Montpellier — dont le titre fait notamment référence aux termes employés par la presse artistique lorsque celle-ci produit des classements de jeunes artistes en vogue — issue d’une rencontre avec une curatrice invitée.

À partir de cette situation donnée, nous nous sommes demandé.e.s ensemble que faire.

Dans ces circonstances, une pratique habituelle est que la curatrice arrive avec un concept avant d’élire les œuvres qui pourraient y répondre. Une autre possibilité est d’observer les productions des étudiant.e.s avant de construire une fiction s’efforçant de relier des individus et des pratiques multiples. Nous avons voulu procéder différemment.

Les choix qui ont guidé cette exposition sont les suivants : sortir de l’école ; que chacun.e puisse montrer une pièce qui lui paraîtrait la meilleure pour cette occasion ; fonder le commun de l’exposition non sur un discours qui relierait les œuvres mais sur l’expérience de ceux et celles qui la font.

À suivre, à surveiller est donc une exposition collective d’œuvres individuelles en même temps que l’exposition d’une série de gestes qui racontent les relations organiques au sein d’une école d’art. Par exemple : M. assure la régie de la performance de Z., Z. pense une médiation autour de l’œuvre d’O., O. s’occupe de l’éclairage de la pièce de K., K. fait le portrait d’A. au travail, M. écrit un cartel pour C., J. utilise les rebuts de V. pour produire sa pièce, D. réalise une série d’entretiens avec M., T. nourrit S., S. écrit un poème à propos du travail d’M., elle source aussi des matériaux pour qu’il réalise sa pièce, M. dévoile une recette qui permet à P. de réaliser ses pièces…

Whatever happened to Bandit 

Site-specific installation. Projector arm, video (0'10, loop). 100 x 50 x 50 cm.

Image credit: Yohann Gozard

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